UNE JOURNEE AU S.D.F.
Ce matin, un peu inquiet, je regarde le bulletin météo. 
Le présentateur virtuel m’indique que le temps, dépressionnaire, nous amène de la pluie, de Bretagne et du sud et d’après mes souvenirs, le stade de France n’est pas couvert.
Nous nous préparons quand même, au cas où; Saint-Denis n’est qu’à 25 minutes en voiture.
Afin de profiter au maximum de cette journée, nous mangeons tôt et c’est vers 12h30 que nous levons le camp.
La voiture de papi devant est assez confortable et spacieuse et aujourd’hui, j’essaie pour la première fois une boîte automatique. Les occupants de la voiture (Bernard, Michèle, Thibaut et Laura) n’ont pas l’air anxieux. On y va !
Arrivés sur place, nous trouvons facilement une place pour se garer et nous nous étonnons de la gratuité du parking.
Premières impressions : le Stade de France rempli de toutes ses activités hivernales nous paraît plus petit qu’à l’accoutumé. Une immense vache Milka est parquée au centre de l’arène … Les jeux peuvent commencer. 
Nous réalisons vite que le temps d’attente minimum aux différentes activités est de 20 minutes.
Première attraction : la descente en luge. 20 minutes de queue = 2 fois 15 secondes de descente. Ce n’est que plus tard que je comprendrais qu’en fait nous n’avions le droit qu’à un seul tour.
Puis nous attendrons 1h30 avant de faire chausser des skis à Laura. Mais elle aura droit à une initiation de 20 minutes et cela valait le coup d’attendre.
En sortant, toute fière, du haut de ses 5 ans et avec les 2 incisives supérieures en moins elle nous dira « ça y est maintenant je sais skier !! »
Nous faisons le tour du stade et observons les plus téméraires escalader le mur de glace, à l’aide de piolets et de chaussures adaptées.
Thibaut se lance dans l’aventure avec le parcours « accro-branches ».
Plus tard, nous visiterons également le « temple » de la vache mauve où plusieurs jeux pédagogiques attireront mon attention. (Apprendre à reconnaître des empreintes, des sons de la nature, des odeurs même … ) Puis nous irons rendre visite aux animaux exposés en extérieur. (vaches, ânesses, biquettes…). Notre seul regret, ne pas avoir pu survoler le stade de France en tyrolienne. Lorsque Thibaut et moi-même nous sommes rendus au stand vers 17h00, il était déjà fermé.
Ce fut une belle journée et dommage que Marie-Line n’ait pu venir ; Nous ramenons à Elise une petite vache pour la consoler d’être tombée malade.
L’an prochain, c’est sûr, nous irons à l’ouverture et tous ensemble. 
